Soufflée

whyarchitecture a une double spécialité, la construction neuve en ossature bois et matériaux bio sourcés, et la rénovation.
Ces deux singularités nous ont amenés à travailler de plus en plus sur des projets neufs dans des cadres bâti ultra contraints et patrimoniaux.

Les projets que nous avons choisis de vous montrer sont tous dans un cadre patrimonial d’exception :
Secteur sauvegardé / UNESCO de la ville de Pierre de Bordeaux.
Co-visibilité d’un monument historique, la chapelle de Condat, Chapelle d’Aliénor d’Aquitaine.
Patrimoine Viticole existant surplombant l’embouchure de la Gironde.
Construction du musée du Destin Commun en Nouvelle-Calédonie et concrétiser les valeurs d’un peuple Calédonien unique, grâce à une architecture endémique et à une démarche participative collectif et communicative.

Nous sommes convaincus qu’en travaillant mains dans la mains avec les services du patrimoine, nous pouvons concevoir des projets résolument contemporains, exemplaires d’un point de vue énergétique, bilan carbone, bien intégrés et acceptés dans la ville.
Chacun de ces projets exprime la vérité constructive de son architecture.
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Il y a deux ans, nous sommes tombés sous le charme d’un site incroyable: un ancien chai en pierre, surplombant des rangs de vignes et offrant des vues magnifiques vers la Garonne, et l’estuaire de la Gironde.
Une belle aventure a commencé.

Le chai en moellons était caractérisé par sa trame géométrique marquée par la charpente bois existante et un incroyable volume non bâti. Le bâtiment se caractérisé par une forme monolithique très peu ouverte sur le paysage. Il se situe le long de la rue.

La façade pierre a été « soufflée » pour permettre d’habiter le volume et s’ouvrir sur le paysage.
La charpente a été apparente, pour mieux comprendre l’histoire du bâtiment et son évolution et créer un rapport dedans/dehors permanent.

Le fait de conserver à la fois la charpente et le toit a continué à donner sa forme aux nouveaux poteaux bois, en Y.
Le volume du séjour largement vitré est habillé de bardage noir pour s’effacer dans l’ombre du toit.
La première travée à été laissée à l’aire libre, un préau à habiter pour créer un espace de liberté. Les moellons et la charpente d’origine y sont visibles.
Cette première travée exprime à la fois la vérité constructive mais aussi le palimpseste, le fait de construire en ajoutant des strates à l’existant.

Illustration